Super l'hippo pète

 

 

 

 

Au trophée Bézu, on a été un peu misérables avec notre numéro d'accordéon à quatre mains. Faut dire, mon pote Franz était bourré comme un Jean-Claude. On s'est fighté sur scène. Et puis il nous a flashé son zgeg. On s'est fait jeter direct, on sait même pas combien on a ranké.


Total, on s'est fini au bar de l'Hippopotamus de Vagney. Y'avait des bulletins concours qui traînaient sur le zinc, pour les cinquante ans de l'Hippopophallus ou ch'ais pas quoi. On a dû en remplir 20000.


Deux mois plus tard, j'apprends qu'on a gagné un week-end pour deux en Californie. Ouaich', man. In Californiiiaaaaaaaaaa !

 

 

 

Arrivée à LA. Sortie d'l'aéroport. "Bienvenue Hippo loveur de all oveur le monde". Ca doit être pour nous.

 

 

 

On se retrouve à l'hôtel avec tous les hippo-gagnants de all oveur le world. Mon pote Franz (debout, à gauche) a déjà repéré une belette (debout, en vert). Il me mime le sort qu'il lui réserve : léchouille de Bruxelles !

 

 

Mon pote Franz (assis, à droite) tente une approche sur Hulkette. Il voit la bague. "Mariée. Et merde.", fulmine-t-il.

 

 

 

Première activité proposée : faire des bulles.

 

 

 

Les "Hippo-girls" nous amènent dans la pièce d'à côté pour une "Hippo-party".

 

 

 

Huitième bière. Boney M. Mon pote Franz commence à chauffer. P'tit pas de danse. Ca sent la gonzesse !

 

 

 

Hippo-serviette.

 

 

 

"Hippo-mes couilles", note mon pote Franz.

 

 

 

La musique s'arrête, on nous propose un jeu.

 

 

 

Si j'ai bien tout compris, c'est à base de queue d'hippopotame les yeux bandés.

 

 

 

"J'vais pas l'rater ton **** ***, tu vas voir c'que je vais ** ******, **************. C'est pas les yeux qu'j'ai de *****, tu crois qu'c'est quoi, c'est ma ****** ***** ** *********** en ***. Ah, tu vas morfler, ******. Demain matin, tu ******** encore le *****, j'te jure !", se hasarde mon pote Franz.

 

 

 

Mon pote Franz entame une parade nuptiale d'un goût douteux. Sourires gênés dans l'assemblée.

 

 

 

Ramon voit sa mère se faire embarquer par mon pote Franz. Séquence émotion.

 

 

 

Jambon tatoo, ton jambon est tatoo.

 

 

 

Lendemain matin, grande excursion à Hippo-world. Mon pote Franz, à peine ramolli, s'arrange pour être dans le groupe des filles. "Appelle-moi Hippo Siffredi !", me lance-t-il.

 

 

 

La visite commence. Zéro hippo.

 

 

 

"A gauche, un Hippo à poil !!!", crie mon pote Franz, taquin.

 

 

 

"C'est quoi cette merde ?", remarque mon pote Franz. Retour à l'hôtel.

 

 

 

Une dernière photo et bastia. Bilan du week-end : 1-0 pour mon pote Franz. Quel playboy, quand même.